Présentation
La partie 5 de la norme concerne la représentation des différentes unités spatiales.
Travaux en cours
Le WG7 de l’ISO travaille sur la norme.
La partie 5 de la norme concerne la représentation des différentes unités spatiales.
Le WG7 de l’ISO travaille sur la norme.
La partie 4 de la norme traite sur l’évaluation foncière. Elle comprend le prix des transactions, les statistiques des ventes et les unités d’évaluations.
Le groupe WG7 de l’ISO travaille sur la norme.
La partie 3 de la norme traite des structures d’information sur les espaces juridiques et leurs représentations dans l’espace marin. Cela inclut les limites, les espaces protégés, les ressources, ainsi que les droits et les obligations qui en découlent.
Le groupe WG7 de l’ISO travaille sur la norme.
Cette norme permet de spécifier comment établir, maintenir et publier un registre de mesures qualité conformément à l’ISO 19135-1. Cette norme comprend également la définition des moyens d’accès machine (API) à ce registre.
Les travaux comprennent aussi l’initialisation du registre avec un jeu de mesures prédéfinies.
Les travaux du groupe ont débuté en 2021.
CityJSON est une spécification qui implémente en partie le modèle conceptuel défini par CityGML.
La page officielle de CityJSON est https://www.cityjson.org/
La version v1.0 a été adoptée comme standard communautaire par l’OGC. Elle implémente l’essentiel du modèle de données CityGML v2.0 et tous les modules CityGML ont été mappés sur des objets CityJSON et encodés en JSON. Cependant, par souci de simplicité et d’efficacité, certains modules et fonctionnalités ont été omis et/ou simplifiés. Les différences dans la structure des modules ont été faites pour améliorer la facilité de mise en œuvre de CityJSON ; ces décisions ont été prises pour que les développeurs puissent facilement manipuler les fichiers.
CityJSON v1.0 est conforme à un sous-ensemble de CityGML v2.0, et les principales fonctionnalités non supportées sont :
La liste exhaustive des différences entre l’implémentation de CityJSON v1.0 et CityGML v2.0 est disponible sur cette page Web.
La version 1.1 de CItyJSON présentée sur le site de CityJSON implémente partiellement selon le même principe le modèle conceptuel de CityGML v3.0 partie 1.
Les écarts entre l’implémentation CityJSON v1.1 et CityGML v3.0 sont présentés sur cette page web dédiée.
Une version candidate 2.0 de CityJSON a été soumise à l’OGC en avril 2023 pour être adoptée comme standard communautaire. Cette version implémente le modèle conceptuel CityGML v3.0 et devrait supplanter la version 1.3 qui n’a pas fait l’objet d’une standardisation particulière.
Le standard CityJSON v1.0 peut être considéré comme un profil du modèle CityGML 2.0, avec une simplification et un encodage JSON.
CityJSON est supporté par un ensemble d’outils opensource dont 3DCityDB (dont la majorité est issue de l’université TU Delft) ainsi que par FME (de SAFE Software).
2 outils de validation supportent CityJSON, dont Val3Dity et cjio (CityJSON/io) développés en python.
La liste des outils supportant CityJSON (import, export, conversion, visualisation) est disponible à https://www.cityjson.org/software/
Des jeux de données test (en LoD2) sont disponibles sous https://www.cityjson.org/datasets/.
L’usage de JSON (au lieu de GML) et la simplification du modèle selon les schémas JSON conduit à un volume moindre des fichiers JSON (une taille des fichiers de l’ordre de 5 fois plus faible).
Note: Le service des développements métiers (SDM) de l’IGN a évalué avec succès CityJSON.
I3S (et son format de stockage associé SLPK) est un standard OGC communautaire (soumis par ESRI) destiné à la diffusion et le rendu de contenus géospatiaux 3D (très) volumineux tels que l’imagerie 3D (photogrammétrique), les bâtiments 3D, et autres objets vecteur et les nuages de points.
Un ensemble de données I3S, appelé Scene Layer, est un standard de conteneur pour des données géographiques 3D (pouvant être volumineuses) réparties de manière hétérogène. Les Scene Layers sont conçus pour être utilisées dans des flux en streaming pour des environnements de travail mobiles, ordinateurs et sur serveur et sont accessibles sur le Web ou sous forme de fichiers locaux.
Le format de livraison et le modèle de persistance des Scene Layers, appelés respectivement Scene Layer indexée (I3S) et package de Scene Layers (SLPK), sont spécifiés en détail dans le standard communautaire OGC. Les deux formats sont encodés à l’aide de JSON et de ArrayBuffers binaires (ECMAScript 2015). I3S est conçu pour être compatible avec le Cloud, le Web et les mobiles.
I3S est basé sur JSON, REST et les standards du web et est facile à manipuler, à analyser et à rendre efficacement par les clients Web et mobiles. I3S est conçu pour diffuser de grands ensembles de données 3D et est conçu pour les performances et l’évolutivité. I3S est conçu pour prendre en charge le contenu géospatial 3D et les systèmes de référence de coordonnées et modèles altimétriques en conjonction avec un ensemble de types de couches.
La version communautaire ouverte GitHub de ce standard est ici : https://github.com/Esri/i3s-spec
I3S/SLPK est supporté notamment par la suite ArcGIS, ainsi que par ArcMap (ESRI), et par FME (SAFE Software).
D’autres reférences de mises en oeuvre peuvent être trouvées sur le dépot github d’I3S.
La version 1.1 ajoute le support des nuages de points, et des améliorations de performance.
La version 1.2, adoptée en novembre 2021 par l’OGC ajoute des optimisation d’index et de la gestion avancée des textures.
La version 1.3, adoptée en décembre 2022 par l’OGC ajoute le support des scènes d’intérieur des bâtiments.
I3S est une spécification en concurrence avec 3D Tiles également standard communautaire OGC. Si I3S est bien sûr largement supporté par les logiciels ESRI et FME, à ce jour il manque un support opensource.
Cette spécification DGIWG (Défense) de gamme de produits orthoimagerie multi-résolutions (25m à 0,1m) spécifie les règles des produits, exigences de qualité et règles d’encodage selon divers formats (GeoTIFF, NSIF et GMLJP2), ainsi que les métadonnées de produits orthoimagerie.
La spécification comprend essentiellement :
À noter que la spécification ne couvre pas les zones polaires.
DOP 1.0 a été publié en mai 2021. Cette spécification utilise DMF 2.0 pour les éléments de métadonnées DOP.
L’extension de la spécification DOP aux zones polaires reste à faire.
Le standard OGC API – Features est un standard modulaire permettant d’accéder à des données géospatiales de type Feature. Il est l’évolution naturelle du service WFS vers une API. Actuellement deux parties sont publiées : Core, CRS.
OGC API Features – Core https://www.ogc.org/resource/products/byspec/?specid=1022
OGC API Features – CRS https://www.ogc.org/resource/products/byspec/?specid=1121
Il s’agit de la première version de ce standard.
Le groupe OGC API Feature SWG travaille sur les prochaines parties du standard https://github.com/opengeospatial/ogcapi-features., notamment pour le support des fonctionnalités de filtrage avancées (équivalentes à ce qu’offre Filter Encoding) et de gestion des transactions (suppression, mise à jour et suppression des objets).
Ce groupe de travail est dédié à l’archivage des données de manière à pouvoir les exploiter dans le futur.
Une première réunion s’est tenue en virtuel lors du TC OGC de septembre 2020. La base de réflexion présentée est le projet européen d’archivage eArchiving . A terme, il s’agira de disposer d’une plate-forme européenne d’archives permettant l’exploitation future de leur contenu.
Il est basé sur le format e-ark, composé de packages thématiques dont un pour l’information géospatiale qui est en cours de revue et qui devrait être proposé comme community standard à l’OGC.
Le STANAG 6015 décrit les formats codés utilisés à l’OTAN pour les opérations METOC. Pour le domaines maritime, les formats codés sont les suivants :
– VELO Code
– Noise Measurement Code
– Standard Format for Oceanographic Forecasts
– OPTASK METOC
– OPTASK REA
– MIHUSOFOR Forecast Format
– Marine Mammal Sighting Report Format
– BATHY Code
– Additional Military Layers (AML)
– BOWWAVE Acronym
Les données sont codées au format texte ou binaire selon une method prédéfinie, le STANAG définit également des listes de codes pour certains paramètres.